Nous continuons de découvrir l’étude sémiologique de la simplicité avec un troisième récit : celui du passé et du futur simple.
Ces récits reposent sur une croyance dans un avant, voire une origine, un Eden simple à retrouver VS la complexité de la modernité mais aussi sur une critique de l’ère actuelle faite de bruits, de fureur, d’artifices.
Elle emprunte au philosophe américain Henry David Thoreau l’aspiration à un rapport plus contemplatif à la nature et à la matière première (l’artisanat).
Ces récits retrouvent aussi Épicure dans son projet d’autonomisation et d’affranchissement par une vie bonne et simple.
L’alimentaire est très présent sur ce motif narratif.
Retrouvez le troisième volet des récits de la simplicité :